Il n’existe pas d’autre traitement chez ces patients que la diminution de la thérapie immunosuppressive, dans l’espoir d’améliorer le la réponse immunitaire antivirale.
Notre travail est basé sur l’hypothèse d’une réactivation du virus BK suite à la thérapie immunosuppressive. Nous nous intéressons au devenir de la population virale sous l’effet du traitement (diversité, sélection de variants,…). Ce projet est mené en collaboration avec le Centre de Recherche en Transplantation et Immunologie de Nantes (UMR 1064).
Contributeurs
Jérôme BOURRET, Ignacio Bravo
Céline Bressollette-Bodin; MCU‐PH Nantes CHU (BKNAB IP)
Dorian McIlroy; MC Uni Nantes
Xavier Saulquin, PU Univ Nantes

